lundi 18 novembre 2019

Raccourcis clavier sous MacOS

Bonjour à tous,
je suis passé sous macOS il y a de cela quelques jours et j'étais plutôt dérouté par toutes les gymnastiques à faire travailler convenablement, Habitudes Pc Oblige.  Très rapidement j'ai pris mes marques et c'est plutôt bluffant. Je suis un linux users sur Pc et je me retrouve un peu car l'environnement est quasi-similaire à gnome. Dans tous les cas un temps d'adaptation est nécéssaire.

Ce article vient vous y aider avec les raccourcis couramment utilisés sous mac. Après plusieurs jours et quelques recherches sur internet, je vous livre ici ce que j'ai pu obtenir:

  • Le Suppr sur un clavier portable est obtenu par Fn + Backspace ( Fnß )
  • Les accolades {} sont obtenus par ( et )
  • Les crochets [ ] sont obtenus par ( et )
  • Le pipe (|) est obtenu par L
  • L'antislash (\) est obtenu par /
  • Le tilde (  ̃) est obtenu par ou par   N espace
  • Le æ est obtenu par A
  • Le œ est obtenu par O
  • Le μ est obtenu par M
  • Le tiret long () est obtenu par   -
  • Le c cédille majuscule Ç est obtenu par ç
  • L'accent aigu (´) est obtenu par &
  • Les majuscules accentuées sont obtenues en utilisant le verrouillage majuscule () et les minuscules accentuées que sont à, é, è, ï...
  • Les points de suspension () sont obtenus avec ;
  • La manipulation des fenêtres se fait avec N (nouvelle), W (fermer), M (réduire).
Dans le Finder, ⌘⇣ et ⌘⇡ permettent respectivement d'activer un élément (rentrer dans un dossier ou ouvrir un fichier) ou de remonter d'un niveau. Attention, O a le même comportement que ⌘⇣ ( Commande-bas ) ;

Les touches Suppr, Fin, Début, PageUp et PageDown étant absentes des claviers de portables, on trouvera les raccourcis suivants dans les éditeurs de texte :

  • Fn-Backspace (Fnß) pour Supprimer
  • ⌘⇠ et ⌘⇢ pour aller respectivement en début et fin de ligne ( pour sélectionner)
  •   et   pour aller respectivement en début et fin de mot ( pour sélectionner)
  • ⌘⇡ et ⌘⇣ pour aller respectivement en début et fin de document ( pour sélectionner)
  • et pour naviguer entre les paragraphes ( pour sélectionner)
  • Fn et Fn pour naviguer entre les pages ( pour sélectionner)

La recherche , un autre point clef, ne fait pas appel à des touches exotiques comme F3:

  • F ouvre le dialogue de recherche ;
  • G cherche l'occurrence suivante, ⇧⌘G cherche l'occurrence précédente – E initialise la recherche avec la sélection courante ;

Le dictionnaire intégré́ à MacOs X est également très facile d'accès :

  •  Option-Echap ( ) ouvre le dictionnaire d'auto-complétion ;
  • Control-Commande-D (⌃⌘  D) donne la définition (anglaise) d'un mot pointé par la souris
La sélection mérite aussi d'être citée :

  • Sélection + Commande () : sélection discontinue (on peut sélectionner des portions de texte disjointes) courante ; c'est le même comportement que la sélection dis- continue sous le Finder ;
  • Sélection +  : sélection de texte verticale.
{MAJ:25/10/2017}

Voilà ici quelques autres raccourcis clavier:

  • Cmd + D permet de Dupliquer un document ou un fichier;
  • Cmd + C ou Cmd + V permettent respectivement de copiez et coller comme sous PC;
  • {MAJ:16/10/2018Alt + Cmd + V permet de déplacer le fichier qu'on a copier (Cmd+C) dans le Finder ( Ctrl + V sous PC); {Fin MAJ:16/10/2018
  • Cmd + Z permet d'annuler une manipulation;
  • Cmd + Maj + Z  permet d'annuler une annulation de manipulation, donc de rétablir une manipulation;
  • Cmd + A permet de tout sélectionner;
  • Cmd + S permet d'enregistrer ;
  • Cmd + F permet de faire une recherche dans une fenêtre;
  • Cmd + Alt + W ferme toutes les fenêtre ouverte;
  • Cmd + Suppr sert à Supprimer un dossier, un ficher (dans le Finder); 
  • Cmd + Option (Alt) + F permet d'Afficher en plein écran
  • la touche "Entrée" effectuée sur un ficher permet à celui-ci d'être renommer;
  • Cmd + M permet de placer la fenêtre active dans le Dock
  • Cmd + Y permet Prévisualisation d'un fichier; 
  • Cmd + Option + Esc. permet de fermer une application ou une fenêtre de force (fenêtre "Forcer les applications à quitter");
  • Cmd + flèche du haut permet  de revenir au dossier parent dans le Finder;
  • {MAJ:18/11/2019} Maj + Fn + Cmd + . : Cette combinaison permet d'afficher les fichiers cachés;

J'espère que cela vous sera utile. Vous pourrez tout de même approfondir la question en parcourant le manuel d'Administration/Guide d'utilisateur de MacOs ou tout simplement l'aide en ligne.


Portez vous bien!

samedi 16 novembre 2019

NTFS, Lecture / Ecriture sous macOS Catalina (10.15.x)

Ce tutoriel fait suite à celui sur la lecture/ecriture des disques NTFS sur MacOS 10.12,10.13,10.14 qui date d'il y a un an.
Les installations suivantes restent valable 

  • Installation Xcode tools: xcode-select --install
  • Installation Homebrew/usr/bin/ruby -e "$(curl -fsSL https://raw.githubusercontent.com/Homebrew/install/master/install)"
  • Installation Cask: brew install cask
  • Installation osxfusebrew cask install osxfuse 
  • Installation de ntfs-3g: brew install ntfs-3g
Avec Catalina, il n'est pas nécessaire de désactiver le SIP mais la sécurité est plus stricte que jamais. En effet, étant donné que macOS Catalina monte le système de fichier en mode lecteur seul, nous devons trouver le moyen de modifier le fichier mount_ntfs par défaut.

Après les installations précédentes, nous avons deux versions de mount_ntfs sur notre système. L'un se trouve à /usr/local/sbin/mount_ntfs, installer avec ntfs-3g et l'autre /sbin/mount_ntfs (livré avec l'OS).
Ce que nous allons faire, c'est de copier le contenu du premier (celui de ntfs-3g) dans le second (celui du système). Il convient tout de même d'en faire une copie.

Contrairement aux anciennes versions de macOS (<10.15), sous Catalina, la commande << sudo mv /sbin/mount_ntfs /sbin/mount_ntfs.original >> nous donne un message du genre:
 << mv: rename /sbin/mount_ntfs to /sbin/mount_ntfs.original: Read-only file system >>. Le fichier système est donc en lecture seule. Il faut donc modifier cette situation (temporairement
bien sur).
/!\ Les commandes seront annulées au redémarrage. Nous allons faire toutes nos modifications avant cela.
Les commandes suivantes nous y aides:

  • monter le fs en mode edition: sudo mount -uw /
  • renommer le fichier originale: sudo mv /sbin/mount_ntfs /sbin/mount_ntfs.original
  • créer un nouveau fichier: sudo touch /sbin/mount_ntfs
  • changer les droits sur le fichier (uw): sudo chmod 0755 /sbin/mount_ntfs
  • changer le propriétaire du fichier: sudo chown 0:0 /sbin/mount_ntfs 
  • ouvrir le fichier en mode édition avec nano: sudo nano /sbin/mount_ntfs

Ouvrons un autre terminal et tapons les commandes suivantes:

  • déterminons notre user ID, le miens c'est 501: id -u
  • déterminons notre Group ID, le mien c'est 20: id -g
  • ouvrons le mount_ntfs de ntfs-3g: nano /usr/local/sbin/mount_ntfs
  • sélectionnons le contenu puis clic-droit pour le copier.

Le contenu du fichier /usr/local/sbin/mount_ntfs ressemble à ceci:


#!/bin/bash

VOLUME_NAME="${@:$#}"
VOLUME_NAME=${VOLUME_NAME#/Volumes/}
USER_ID=501   
GROUP_ID=20. 

if [ `/usr/bin/stat -f %u /dev/console` -ne 0 ]; then
USER_ID=`/usr/bin/stat -f %u /dev/console`
GROUP_ID=`/usr/bin/stat -f %g /dev/console`
fi


/usr/local/opt/ntfs-3g/bin/ntfs-3g \
-o volname="${VOLUME_NAME}" \
-o local \
-o negative_vncache \
-o auto_xattr \
-o auto_cache \
-o noatime \
-o windows_names \
-o user_xattr \
-o inherit \
-o uid=$USER_ID \
-o gid=$GROUP_ID \
-o allow_other \
"$@" >> /var/log/mount-ntfs-3g.log 2>&1

exit $?;



Coller le contenu ci-dessus copié dans l'autre terminal (celui où l'on a ouvert /sbin/mount_ntfs), en prenant soin de remplacer le User_ID et le GROUP_ID par les vôtres.
Enregistrer ensuite le fichier en tapant sur les touches "Ctrl+X" et "Y". Il faut ensuite fermer toutes les fenêtres ét redémarrer notre ordinateur.

Nous sommes parés à utiliser nos disques durs externes en mode lecture et écriture.
Bye.






mardi 21 mai 2019

Qwant: Comment le définir comme moteur de recherche par defaut

 Installer Qwant comme moteur de recherche par défaut sur:

- Edge:
Cliquez ensuite sur le menu “Paramètres, etc.” en haut à droite.
Puis cliquez sur “Afficher les paramètres avancés”.
Choisissez “Paramètres”.
Cliquez sur le bouton “Changer de moteur de recherche”.
Qwant apparaitra dans la liste. Sélectionnez-le et cliquez sur “Définir par défaut”.
Qwant est maintenant le moteur de recherche par défaut de votre navigateur.
- Firefox:
Deux options s'offre à nous:
Option 1 : Cliquez sur la loupe dans la barre de recherche située dans la barre d’outils.
Faites un clic droit sur le logo Qwant et sélectionnez “Définir comme moteur de recherche par défaut”. Qwant est maintenant le moteur de recherche par défaut de votre navigateur.

Option 2 : Cliquez sur l’icône du menu dans l’angle supérieur droit, puis sélectionnez “Options”. Une nouvelle fenêtre s’ouvre.
Dans le menu latéral, cliquez sur le bouton “Recherche”. Ouvrez le menu déroulant de la section “Moteur de recherche par défaut” et sélectionnez Qwant. Qwant est maintenant le moteur de recherche par défaut de votre navigateur.

Safari:
Installer l’extension Qwant sur Safari
Téléchargez le fichier de l’extension Qwant pour l’installer sur votre ordinateur.
Une fois installée, l’extension installe Qwant comme moteur de recherche par défaut sur votre navigateur Safari.

Bonne lecture. et
A bientôt.

De la question de la "Vie privée" sur Internet: Les moteurs de recherche

On entend partout "Sécuriser vos données", "Brèche de sécurité", "faille de sécurité", "fuite de données sensibles", "Edward Snowden", "NSA", "BigBrother" ... Alors De quoi parle le texte?

Nous allons produire un ensemble de plusieurs articles qui viendrons éclairer la lanterne de tout ce qui se pose des questions et surtout, comment faire?

Pour débuter nous allons commencer par notre premier pas sur internet.
Lorsque que vous avez accès à internet pour la première fois, l'épineuse question se pose: Que faire? comment faire ça? comment faire ci? et avec quoi le faire?

Plus de 90% des personnes donnerons en réponse à ces question, va sur Google (1998). Eh oui, le moteur de recherche le plus populaire au monde.

Et tac, je pose mes questions et les réponses arrivent comment si mon périphérique les devinait. En tout cas Google est SUPER. Mais il y a un hic.

Quel est donc le problème avec google?
Après mes premières recherches, les publicités en lien avec mes recherches commencent à affluer. Publicités suggérées par ici; publicités non désirées par là; publicités sponsorisées par là... Tout ce que je lit contient de la publicité, même quand je suis sur d'autres sites qui n'ont rien à voir avec google. Comment ça se fait?

Rassurez vous, google vous suit à la trace. Ehhhhh oui google vous espionne depuis votre première recherche sur le moteur de recherche www.google.com. Et sachez que google est très intrusive et ne demande pas votre avis. Il en est de même si vous faites vos recherches pendant que votre compte gmail est ouvert.

Un autre groupe en fait autant, il s'agit de Facebook, nous y reviendront.

Face à cette situation une question se pose: Que faire?

[Un peu d'histoire tout de même]
Il est bon de savoir que le moteur de recherche de google n'est pas le seul moteur qui existe sur la toile mondiale des ordinateurs.

Les plus anciens ont certainement connu l'existence des moteurs de recherches tels que www.altavista.com (1996), Archie (1990), Wanderer (1993), yahoo (1994), Lycos (1995)..., AOL et compagnie qui ont pratiquement tous disparus avec l'explosion de la bulle internet des années 2000 et le plébiscite de Google (créer en 1998) la même année par Searchenginewatch.com.

Face l'hégémonie de Google, d'autre alternative ont vue le jour sur la planète avec plus ou moins les mêmes modèles économiques: "La collecte des données utilisateur, pour ensuite les vendre." Vous êtes donc le produit.
L'on peut citer ask.com, Bing (Microsoft), Yandex (Russie), Baidu (chinois), swisswows (suisse), qui collectent tous les données utilisateurs ... et en face les moteurs libres respectant la vie privée des utilisateurs que sont DuckDuckgo, Qwant ... Nous aurons l'occasion de les étudier plutard dans le détail.

Noter que Duckduckgo et Qwant sont de très bons alternatives au moteur de recherche de google. L'on peut aisément les intégrer au navigateurs que nous utilisons au quotidien. Pour plus de plus amples informations, allez faire tour sur Qwant pour ce qui le concerne.

La suite pour bientôt...

vendredi 13 avril 2018

Ecriture / Lecture NTFS sur MacOS High Sierra 10.13.(1,2,3 et 4)

Ecriture / Lecture NTFS sur MacOS High Sierra 10.13.(1,2,3 et 4) Mojave et ses déclinaisons et aussi macOS Catalina (10.15):

Nouvel utilisateur de MacBook pro (Je ne le suis plus depuis presqu'un an) avec El capitan, je me suis retrouvé confronté à un sérieux et étrange problème. Il m'était impossible de copié des données de mon MacBook sur mes disques dures externe en format NTFS (système de fichier de Microsofts).

Alors question:
1- comment est-ce possible au 21è siècle (Apple m'épate de jour en jour)?
2- comment y remedier?

Nous alons simplement chercher à repondre à la seconde question car je ne veux pas savoir "quel est le sex des anges".

Pour ce faire, deux solutions s'offrent à nous :
1 - Installer l'application payante Paragon NTFS version 15 (si vous avez assez de sou), plutôt bien foutu.
2 - Et la seconde solution c'est l'installation et la configuration de OSXFUSE et NTFS 3G.

L'installation de paragon (simple à réaliser) n'est pas abordée dans ce billet. Un tour sur le site de l'éditeur nous en donne plus de détails.

Alors revenons à nos moutons!

Qu'est ce que c'est NTFS 3G et comment installe - t -on OSXFuse et NTFS 3G pour resoudre notre problème?

NTFS 3G:
-------
NTFS 3G est un pilote open source pour NTFS utilisant le système de fichier de FUSE supporté par tous les sysytèmes d'exploitation compatible UNIX dont MacOS ( et oui c'est un unix like au même titre que linux).

NTFS 3G sert juste d'interface à OSXFUSE pour faire le travail. Il est issue du projet Tuxera NTFS qui est payant et intègre des outils ou fonctions supplémentaires permettant de formater en NTFS et d'analyser les disques durs externes.

On y va:

Il import de savoir que nous avons des préréquits à remplir.:
Il s'agit du command line tools for Xcode, qui se trouve dans l'AppStore et de Homebrew (dont nous avons parlé dans un précédent article).

Ainsi, Command Line tools for Xcode s'install en tapant dans le terminal

 xcode-select --install

Puis On install Homebrew en entrant dans le terminal

 /usr/bin/ruby -e "$(curl -fsSL https://raw.githubusercontent.com/Homebrew/install/master/install)"

Une fois Homebrew installé, il faut installer son extension Homebrew cask, toujours dans le terminal:

brew install brew-cask

On installe par la suite osxfuse et ntfs-3g (la version la plus récente) respectivement, dans le terminal

brew cask install osxfuse

puis

 brew install ntfs-3g

[Pas nécessaire sous macOS Catalina: Désactivation de SIP]
L'on doit ensuite désactiver le System Integrity Protection (SIP) de votre macOS. Comme son nom l'indique c'est le système de sécurité mise en place par Apple à l'image de UAC de Microsoft Windows; sans quoi nous ne pourrons pas poursuivre avec les commandes avenir.

Pour désactiver le SIP, il faut redémarrer en Recovery Mode c'est - à - dire on redémarre la machine en maintenant les touches "Cmd + R".

Une fois en recovery mode, on clique sur le menu utilitaires (utilities) puis "console" pour afficher la console.
Dans le terminal, la commande csrutil status doit indiquer enable (actif) en suite la commande csrutil disable permet de le (SIP) désactiver.

En suite  csrutil status permet de savoir si c'est effectif ou pas (on devrait donc avoir "disabled").

Il ne nous reste plus qu'a redémarrer donc la machine, cette fois-ci en mode normal et l'on peut y vérifier le status de csrutil en entrant dans le terminal "csrutil status".

Si le résultat n'est pas "disabled" alors on reprend le processus.

[Avant macOS Catalina: Début MAJ]
Une fois que le System Integrity Protection est désactivé, l'on doit dire au macOS de monter automatiquement les périphériques NTFS que l'on y connecte (Disque dur Externe, ...) en modifiant les fichiers NTFS par défaut de MacOS. Pour cela:

  • On renomme le fichier d'origine mount_ntfs en mount_ntfs.orginal par:  sudo mv /sbin/mount_ntfs /sbin/mount_ntfs.original 
  • On pointe notre fichier installé par ntfs-3g qui se trouve dans /usr/local/sbin/ vers celui qu'on vient de renommer afin que macOS le prenne en compte en lieu et place de l'original en y créant un lien symbolique  sudo ln -s /usr/local/sbin/mount_ntfs /sbin/mount_ntfs 


Nous finissons notre travail par réactiver le SIP, sécurité oblige. La commande  csrutil enable
permet de le faire aisément.

[Sous macOS Catalina 10.15.x : MAJ]
Avec Catalina le fichier /sbin/mount_ntfs est un fichier system protégé car il est en lecture seule. En effet la commande  sudo mv /sbin/mount_ntfs /sbin/mount_ntfs.original 
nous donne un message du genre: mv: rename /sbin/mount_ntfs to /sbin/mount_ntfs.original: Read-only file system
Pour remédier à cela nous allons faire plusieurs choses:
- Déterminer notre user ID:  id -u le miens donne 501 ; et notre group ID: id -g le miens donne 20
Etant donné que Catalina monte le système de ficher en lecture seul (message ci-dessus) nous allons y remédier en le rendant accessible (modifiable) avec la commande: sudo mount -uw /

/!\ Cette commande est annulée au redémarrage. Nous allons faire toutes nos modifications avant cela.
Nous pouvons à présent modifier le fichier mount_ntfs:
sudo mv /sbin/mount_ntfs /sbin/mount_ntfs.original 
sudo touch /sbin/mount_ntfs
sudo chmod 0755 /sbin/mount_ntfs
sudo chown 0:0 /sbin/mount_ntfs 
sudo nano /sbin/mount_ntfs

La dernier ligne nous permet d'ouvrir le nouveau fichier mount_ntfs en mode édition avec nano (éditeur de texte par défaut sous toutes les distributions unix-like)
Ici nous allons ouvrir le fichier /usr/local/sbin/mount_ntfs  créé par l'installation de ntfs-3g  et copier le contenu que nous allons coller dans le terminale où nano nous attend. Chez moi, le contenu à copier est :

#!/bin/bash
VOLUME_NAME="${@:$#}"
VOLUME_NAME=${VOLUME_NAME#/Volumes/}
USER_ID=501
GROUP_ID=20
if [ `/usr/bin/stat -f %u /dev/console` -ne 0 ]; then
  USER_ID=`/usr/bin/stat -f %u /dev/console`
  GROUP_ID=`/usr/bin/stat -f %g /dev/console`
fi
/usr/local/opt/ntfs-3g/bin/ntfs-3g \
  -o volname="${VOLUME_NAME}" \
  -o local \
  -o negative_vncache \
  -o auto_xattr \
  -o auto_cache \
  -o noatime \
  -o windows_names \
  -o user_xattr \
  -o inherit \
  -o uid=$USER_ID \
  -o gid=$GROUP_ID \
  -o allow_other \
  "$@" >> /var/log/mount-ntfs-3g.log 2>&1 

Ce code est coller dans le terminal (mount_ntfs est ouvert avec nano). Il faut enregistrer avec les touches "Ctrl+X" et "Y". C'est fini
[Sous macOS Catalina 10.15.x : Fin MAJ]

On redémarre enfin notre machine et le tour est joué, nos disques durs externes peuvent recevoir des fichiers depuis notre MacOs.



Une petite précision tout de même, comparativement à NTFS-3G, PARAGON-NTFS est 2 à trois fois plus rapide.

J'espère que cela répondra à vos besoins, n'hésiter pas pour les questions et commentaires.
Portez -vous bien et à très bientôt pour un autre tutoriel.


vendredi 23 mars 2018

Le gestionnaire de paquets Homebrew sous MacOS

Homebrew Qu'est ce que c'est?
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Fervent utilisateur d'ubuntu depuis 2006, je suis arrivé sur MacOS du fait que je me suis pris un Macbook Pro il y a peu (Juillet 2017), eh oui, j'aime la qualité et la finition de leurs (Apple) machines (mais pas les prix, et c'est normal).

Premier constat:
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MacOS est un système compatible Unix, au même titre que Ubuntu et toutes les autres distributions de Linux. Cela signifie que MacOS respecte les mêmes spécifications qu'une distribution quelconque de Linux (i.e. à base d'Unix) à quelques exceptions près.
Mes constats:
  • Le clavier MacbookPro et les raccourcis clavier (voir cet article): J'ai mis quelques jours à m'habituer aux contraintes liées à ce changement de clavier;
  • L'interface me rappele Gnome donc pas dépaysé, avec quelques différences tout de même;
  • Mes logiciels de tous les jours (Python, php, LibreOffice, voir cet article,...), pour la plupart libre et open source, fallait-il en payez (trop chers je penses)? si non comment les avoir?
Ce dernier point m'a fait regretter un peu mon environnement d'Ubuntu avec son gestionnaire de paquet "apt". En existe -t- il un équivalent sous MacOS me permettant d'installer les mêmes outils?

Après plusieurs jours de lectures et de recherches, je suis tombé sur Homebrew, Fink , MacPort ...
Alors qu'est ce q'un gestionnaire de paquet au juste?:
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Un gestionnaire de paquets est un programme qui permet d'installer les logiciels et utilitaires, des paquets donc, dont on a besoins sur notre système à l'image de windows installer.
Un paquet est un logiciel qui contient toutes les informations qui permettent d'installer un logiciel sur votre OS, sur votre ordinateur (les bibliothèques, les dépendences, le lieu de l'installation, les versions des outils...) et celà de manière très propre.

Sous Ubuntu, "apt" est le gestionnaire de paquets qui permet d'installer les paquets depuis des repertoires distants sur des serveurs, les dépôts, qui stockent les différents programmes et outils dont on a besoin. Les paquets installer sont soit des ".deb" soit des ".dpkg".

Sous MacOS, Apple(c) a tout organisé autour de son magasin d'applications "AppStore", d'où l'on télécharge toutes les applications et outils qui nous sont nécessaires. Vous le devinez sans doute, elles sont pour la plupart payantes, dans un environnement aussi bien fermé que sous Windows, si ce n'est plus).

A coté, il existe des sites d'ou l'on peut télécharger tout ce que l'on désire, soit en fichier ".dmg" soit en fichiers ".pkg" (Faites attention tout de même à l'endroit où vous téléchargez vos outils).

Pour ma part j'avais juste besoins des outils que j'utilisais sous Linux Ubuntu et Homebrew m'est apparu (aux dires des spécialistes), comme l'outil parfait:

Homebrew comporte plus de 3500 paquets, hors dépots supplémentaires et présente comme avantages sa simplicité d'utilisation, sa facilité d'intégration à l'écosystème d'Apple en utilisant les bibliothèques fournies, installation des logiciel dans le répertoire ".../bin" de l'utilsateur (/usr/local/bin) de même que sa facilité d'installation.

Cependant, il comporte beaucoup moins de paquets que MacPort (près de 21 000 paquets) et Fink (plus de 21 000).

Mais au fait, comment l'installe t-on?
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Il suffit, de copier/coller ce bout de code dans le "terminal" pour lancer son installation:

/usr/bin/ruby -e "$(curl -fsSL https://raw.githubusercontent.com/Homebrew/install/master/install)"

Dépendance:
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Homebrew à l'instar des autres gestionnaires de paquets, a des dépendances à satisfaires au préalable. Il a besoins des outils en ligne de commande pour développeurs dont le compilateur C/C++/Objective-C, git et svn (tous deux des gestionnaires de version). Pour celà, il faut tapez la commande suivante dans le terminal:

 xcode-select --install  et appuyer sur "Installer"


Pour utiliser Homebrew:
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Une fois installé, il suffit de taper
 brew install <nom du paquet à installer> 

et repondre à l'affirmative au questions qui nous seront posées.

Pour verifier que brew s'est installé correctement, il faut lancer
  brew doctor 

dans le terminal et le rapport obtenu nous liste l'ensemble de ce qui s'est passé.

Pour supprimer un paquet, il suffit de faire     brew remove    dans le terminal

Pour actualiser la liste des paquets, il suffit de faire    brew update    et pour la mise à jour des paquets      brew upgrade    dans le terminal (comme sous Ubuntu avec "apt").

L'on peut aussi rechercher un logiciel dans le "magasin" avec la commande     brew search <nom du logiciel> 

Pour allez plus loin avec brew, rendez-vous sur le site officiel, de nombreux détails vous y attendent.

J'espère vous avoir été utile et à très bientôt...(°!°)



jeudi 1 mars 2018

Ajout ou Suppression d'une valeur de variable d'environnement PATH sous MacOS

Bonjour à tous,
Je veux juste faire une petite manipulation sur le PATH de mon MACOS.

Le contexte est simple: si vous avez installé manuellement une application sur votre système et que vous voulez le rendre disponible par ligne de commande, plusieurs solutions s'offrent à vous. La plus simple (mais risquée tout de même) est d'éditer le PATH directement.

Mais avant tout sauvegarder le contenu d'origine de cette variable:

 machine:~ bemous$ echo $PATH >>monPathOriginal.txt

Cette commande écrit le contenu de mon PATH dans un fichier dénommé monPathOriginal.txt situé dans mon répertoire personnel  (~ oblige).

La seconde étape consiste à inscrire mon application dans le path. Supposons que mon application se trouve à /chemin/de/mon/Application/bin , la commande

machine:~ bemous$ export PATH=$PATH:/chemin/de/mon/Application/bin

permet d'ajouter la nouvelle valeur (le chemin de l'application ) dans le PATH. Un écho sur le PATH permet de s'en assurer:

mactrix:~ bemous$ echo $PATH
/usr/local/bin:/usr/bin:/bin:/usr/sbin:/sbin:/usr/local/share/dotnet:/Library/Frameworks/Mono.framework/Versions/Current/Commands:/chemin/de/mon/Application/bin

On se rend bien compte que notre application a été ajoutée au PATH et le tour est joué.

Si pour une raison quelconque l'on veut faire machine arrière c'est à dire comment retirer une valeur du PATH sous macOS?, c'est aussi très simple et c'est avec la commande export:
on ouvre le fichier monPathOriginal.txt et on copie le contenu;
dans le terminal on tape:

mactrix:~ bemous$ export PATH="/usr/local/bin:/usr/bin:/bin:/usr/sbin:/sbin:/usr/local/share/dotnet:/Library/Frameworks/Mono.framework/Versions/Current/Commands"

où "/usr/local/bin:/usr/bin:/bin:/usr/sbin:/sbin:/usr/local/share/dotnet:/Library/Frameworks/Mono.framework/Versions/Current/Commands"

(sans les guillemets) est le contenu de monPathOriginal.txt qu'on a copié.

ET lorsqu'on fait un
 mactrix:~ bemous$ echo $PATH
/usr/local/bin:/usr/bin:/bin:/usr/sbin:/sbin:/usr/local/share/dotnet:/Library/Frameworks/Mono.framework/Versions/Current/Commands  

on a bel et bien la valeur d'origine de notre PATH.

J'espère vous avoir aidez.

A bientôt.




mercredi 28 février 2018

(Installer) configurer apache, php, mysql sur MacOS High Sierra (10.13 et 10.13.3)

Bonjour à toutes et à tous,
aujourd'hui nous allons mettre en route un serveur Apache sur MacOS high sierra sur une machine fraichement installée ou acquise. cela devrait aussi marcher pour les autres versions inférieur ou non.

Suite à des petits soucis sur mon MacBook Pro avec MacOS 10.13.2 (l'espace disque utilisé augmentait à vu d'oeil, ça sera l'objet d'un autre tuto), j'ai due réinstaller mon système et je suis passé à MacOS 10.13.3 et me voilà avec une machine rutilante et neuve.

I- (Installation) activation d'apache:
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Après quelques lectures ici et là, je me rend compte que apache est installé par défaut sur macOS quelque soit la version. Il suffit donc de l'activer. et pour cela, on tape dans le terminale la commande suivante
sudo apachectl start

et apache est lancé, pour s'en assurer on lance Safari et on tape "localhost" et un joli "It work!" apparait:

Voilà! Apache fonctionne, mais nous avons besoin des autres paquet du serveur, notamment Php et mysql.

II- (Installation) activation de PHP:
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Nous avons très certainement de la chance car ici encore MacOS High sierra est livré avec Php. Et heureusement pour nous Apple a bien fait les choses, nous avons Php7.1 qui est livrée avec High Sierra 10.3.3.

Pour activer Php, nous avons juste besoins d'éditer le fichier de configuration d'apache pour lui dire de charger la version de php qui nous convient. Pour cela, éditer le fichier /etc/apache2/httpd.conf avec l'éditeur nano (qui est par défaut disponible sur tous les OS dérivés d'unix - eh oui, MacOS en un -, on tape dans le terminale et on valide:

 sudo nano /etc/apache2/httpd.conf 

Notre mot de passe est requis donc il faut le tapez et la fenêtre suivante s'affiche:


En bas de page nous avons les raccourcis clavier permettant d'éditer le fichier. Un "ctrl W" permet de lancer le mode recherche il faut donc entrer "php" puis faire "entrer", nano nous conduit à la ligne contenant l'expression php indiquant: #LoadModule php7_module libexec/apache2/libphp7.so

Il faut donc décommenter cette ligne en y enlevant le # , qui indique un commentaire dans les fichiers de configuration dans apache.

Notre ligne devient donc
LoadModule php7_module libexec/apache2/libphp7.so

"Ctrl O" puis entrer nous permet de mettre à jour le fichier en prenant en compte les modifications que nous venons de faire.

Puis enfin "Ctrl X" nous permet de quitter le fichier de configuration et donc nano.

Il faut donc redémarrer apache pour charger cette modification et donc cette nouvelle configuration:

 sudo apachectl restart

Php7 est lancé et chargé par Apache mais il faut bien tester cela.

Sachant qu'Apache a besoins d'un répertoire pour stocker les sites web htdocs et sur macOS c'est /Library/WebServer/Documents.

Ici nous allons créer un répertoire pour nos sites dans notre répertoire personnel (nom-utilisateur) et le nommer Sites.

Si par exemple l'utilisateur est bemous, alors dans le dossier bemous, on crée Sites et il est automatiquement reconnu par Safari en tant que tel: mkdir /Users/bemous/Sites 

Il faut en suite modifier httpd.conf pour prendre en compte cette situation (la racine du serveur web):

on lance nano et on recherche /Library/WebServer/Documents que l'on devra remplacer par "/Users/Nom-Utilisateur/Sites" dans mon cas ce sera "/Users/bemous/Sites" :

sudo nano /etc/apache2/httpd.conf
 nous ouvre le fichier de configuration d'apache avec nano (mot de passe requis);
Une fois les deux lignes modifiées, vous devez les valider en tapant "ctrl O" puis "touche Entrer" et "Ctrl X" pour quitter Nano. Ainsi les lignes
#DocumentRoot "/Library/WebServer/Documents"
#<Directory "/Library/WebServer/Documents">

deviennent:
DocumentRoot "/Usersy/bemous/Sites"
<Directory "/Users/bemous/Sites">

et on redémarre apache pour la prise en compte de cette modification:
bemous$ sudo apachectl restart

Nous allons créer à présent un fichier phpinfo() c'est à dire un fichier index.php ou infos.php contenant les lignes suivantes (prenez l'éditeur de votre choix, moi j'utilise sublime Text3) :



C'est terminer Php7 est activer. Lancer Safari, puis http://localhost/(nom du fichier créer).php
Chez moi c'est http://localhost/info.php et voilà le résultat:

Php7.1.7 est bel et bien installé et prêt à être utilisé.

III- Installation de mySql:
      --------------------------
MySql quant à lui, il doit être purement et simplement installé. Il est important de savoir que l'on a le choix entre MySql et Mariadb (qui est le fork de MySql depuis l'acquisition de celui-ci par Oracle).
Pour cela rendez vous à l'adresse https://dev.mysql.com/downloads/mysql/ pour télécharger l'une des versions qui vous intéresse:

Quant à moi, j'ai téléchargé la version mysql-5.7.21-1-macos10.13-x86_64.dmg

Un double click sur le fichier .dmg télécharger un autre fichier avec l'extension ".pkg" s'affiche et un double click sur celui-ci permet de lancer l'installer:



Valider les instructions en clinquant sur "suivant", entrer le "mot de passe" utilisateur demandé et l'installation se poursuit et vous propose le mot de passe root par défaut:


ATTENTION!: vous devez notez ce mot de passe dans un lieu sur avant de cliquez sur "OK" puis "Fermer"

Pour lancer MySQL, allez dans "Préférences Systèmes" et vous y verrez une icône de MySQL Agent qui permet de lancer le serveur et/ou de l'arrêter:


Un click dessus lance une fenêtre donnant le statut du server MySQL:
Un click permet de lancer le serveur MySQL, notez que le mot de passe utilisateur est requis; noter aussi que la case "Automaticaly Start MySQL server on Startup" est cochée: MySQL se lance en même temp que le système. Si l'on veut démarrer MySQL soit même, alors décocher cette case. 
Voilà, nous venons d'installer MySQL sur notre serveur.

Il est impératif pour nous de changer le mot de passe par défaut fourni par MySQL; pour cela nous allons nous connecter par le terminal à MySQL et changer son mot de passe:
On tape
bemous$ sudo /usr/local/mysql/bin/mysql -u root -p
et le mot de passe de bemous est requis (utilisateur système); on entre le mot de passe de bemous.
Un autre mot de passe nous est demandé: c'est celui que nous avons copie à la fin de l'installation de MySQL (mot de passe du root): on le rentre et hop, nous sommes connecter à MySQL








Ici on saisit la syntaxe suivante pour modifier le passe de root: ALTER USER 'root'@'localhost' IDENTIFIED BY 'motdepasse';

Il faut remplacer 'motdepasse' par celui que vous souhaiter définir comme nouveau mot de passe de root.

Ainsi nous venons d'installer et configurer MySQL. Il nous faut à présent un outil d'administration:
 
Ici nous avons l'empara du choix d'autant plus que nous avons PhpMyAdmin, MySQL Workbench (que j'apprécie personnellement), SequelPro ... d'autre s'en tiendront aux ligne de commandes:
Le choix vous appartient; quant à moi, j'utilise MySQL Workbench pour sa convivialité et ça simplicité. Il vous faut juste télécharger le fichier .dmg sur le lien indiqué ci dessus et suivre les indications c'est à dire copier le fichier dans "Applications":

Connecter vous comme bon vous semble et éclatez-vous: 



J'espère vous avoir été utile.

Merci pour votre attention et n'oubliez surtout pas de faire vos critiques et suggestions.


mardi 16 janvier 2018

Windows After Install (Après l'installation de Windows)

Bonjour à tous,
voilà que je me mets à écrire de nouveau sur ce blog et j'espère être prolifique en cette année 2018. Au passage, excellente année 2018 à toutes et à tous!!!!!

Alors de quoi s'agit il ce matin?

Depuis quelques jours une amie m'a fait appel pour la dépanner, histoire de changer son disque dur et tous ce qui va avec. Elle a, je ne sais par quelle subterfuge, bousillé son disque dur sur son laptop. Il faut dire que celui-ci date aussi de quelques année quand même (hp G62).

Une fois le disque dur acquis, je crée une clé USB (4 Go au moins) bootable de Windows 10 x64 enterprise avec cet utilitaire Rufus et je me lance. (Très simple à utiliser)

Tous ce passe comme sur des roulettes, il faut juste suivre ce qui se passe à l'écran et faire suivant.

Lors d'une installation système voilà ce qu'on oublie souvent jusqu'à ce qu'on soit confronté à la dure réalité: il manque des pilotes, et pas les moindres.  Aussi se pose t-on la question de savoir quelle logiciels installer sur le poste pour que l'utilisateur soit OK comme on dit.

Pour répondre à ces questions il faut:

1- Si la carte réseau (Ethernet) ou/et Wifi sont reconnus alors le reste est simple:
On se connecte à internet et on se rend sur le site driversCloud ou l'on telecharge l'utilitaire pour analyser notre matos et nous faire un "extrait topo" dans le but d'identifier tout ce qui se trouve sur la machine et mettre en exergue les équipements qui n'ont pas de driver (pilote). Un bouton "télécharger les drivers" nous permet de les avoir sur les sites soit des fabricants, soit des tiers, en tout cas les pilotes les plus à jours possible et le tour est joué.

Il faut donc procédé à leur installation en suivant et validant les instructions qui s'affichent à nous.

Alors nous auront bien entendu besoins des outils de bureautique pour utiliser correctement notre machine. Cette liste ci-dessous, non exhaustive nous permettra de le faire aisément.

2- Si la carte réseau et/ou Wifi ne sont pas reconnus alors on se connecte à partir d'une autre machine sur internet et on va sur le site DriversCloud pour télécharger l'utilitaire de detection Offline que installera sur notre laptop pour lancer le scan. Un fichier "configuration.mc" sera créé et il faudra le transporté sur la machine connectée en ligne pour le charger. Une fois validé, l'on sera dans la même configuration que précédemment alors l'on téléchargera les pilotes comme indiqué ci-dessus.


Les machines sont donc prêtent à être utilisées, mais avec quels logiciels? Voilà ici une liste de logiciels qu'il faudra installer:
- Libre Office : suite bureautique open source et gratuit, qui fait exactement ce que fait MicroSoft Office (que vous pouvez aussi installer si vous acquérez une licence).

- VLC: un des meilleurs lecteurs, sinon le meilleur (à mon avis) de fichier multimedia qui lit la quasi- totalité des formats audios, videos du marché et séries sur le gateau, il est gratuit.
- WinRAr ou WinZip: Pour la compression/Décompression de fichiers.

- Adobe Acrobat Reader pour la lecture de fichier Pdf

- Adobe Flash Player pour lire certaine video en ligne (mettre à jour à tout moment à cause des nombreux problème de sécurités);

- Firefox ou Google Chrome: des navigateurs Alternatifs à Edge et Internet explorer qui ont pas mal de
lacunes par rapport aux deux premier cités.

-Un antivirus (si vous en avez les moyens) ou à défaut activer defender et mettez le à jour.

L'on peut aisément rajouter des logiciels en fonction de son domaine d'activité (programmeur, graphiste, éditeur multimedia, secrétaire...)

Voilà, cette liste n'est pas exhaustive et vos commentaires me permettront de la mettre à jour.

J'espère que ça vous era utile.





mercredi 25 octobre 2017

Installer FaceBook Messenger (Non officiel) sur votre MacOs

Bonjour à tous,
depuis mon passage sur MacBook Pro 13" Retina Mi-2014, j'essaie tant bien que mal de retrouver mes habitudes et mes marques "Ubunteros" (Oui vous avez bien lu). J'avoue être agréablement surpris de ne pas être dépayser car les MacOS aussi sont des dérivé du très légendaire Unix tous comme toutes les distributions de Linux. Rassurez vous je n'utilise que des softs libres et open source sur le système (celui-ci étant livré avec la machine; au passage les mises à jour sons gratuites).

Ainsi la plupart des softs que j'utilise sur Ubuntu, fonctionnent sous MacOs, ou ont leur équivalent MacOs (.dmg). Ils peuvent pour les autres être porter sur MacOs pourvu qu'on sache où chercher.

C'est dans ce cadre que je me suis mis à rechercher comment installer FaceBook messenger sur MacOs  10.13 (High Sierra). Deux possibilités s'offrent à nous:

1ère Méthode: Facebook Messenger for MacOS

Ne vous inquiétez pas il suffit de télécharger un petit soft bien foutu du nom de "Messenger for Mac" que l'on peut télécharger à l'adresse https://fbmacmessenger.rsms.me .

Il suffit de télécharger le fichier ".dmg" et en double cliquant dessus, on a juste qu'a suivre les instructions et le tour est joué . Une fois lancer on à la fenêtre de connexion suivante :

Il ne nous reste qu'à nous connecter et utiliser messenger exactement comme sur notre mobile.

Il y a aussi une seconde méthode comme indiqué plus haut.

2ème Méthode: Caprine
Cette application a été faite pour linux comme indiquée dans le précédent article traitant du même sujet, mais pour linux. Aussi faut il noter que Caprine peut être installer sur MacOs et fonctionne aussi bien que sur linux.
Pour procéder à son installation, l'on peut soit télécharger le fichier caprine-2.7.1.dmg et l'installer ou en utilisant Homebrew-Cask. Pour cela il suffit de taper  dans le terminal : 
$ brew cask install caprine
Homebrew devant être préalablement installer (voir ici pour le faire ou sur le site officiel ici https://brew.sh/index_fr.html).

Une fois Caprine installé, il ne vous reste plus qu'à vous connecter avec votre Login et votre Mot de passe et le tour est joué.


Portez vous bien!